Paroles & musique : Le Traquenard Enregistré et filmé le 04 mai 2022 au Studio LDC à Montreuil chez notre ami André Baille Barrelle. « Chef d’œuvre », le premier album du Traquenard est disponible en streaming et en téléchargement ! https://letraquenard.bandcamp.com/releases Site internet : https://www.letraquenard.org/ Facebook : https://www.facebook.com/LeTraquenardOfficieux Instagram : https://www.instagram.com/letraquenardmusique/ Paroles : Lorsque tu es venue au monde Je t’ai trouvée vraiment immense Et pleine d’innocence Tes petits mouvements malhabiles Te donnaient l’air d’une déesse Inspirant la tendresse Aux yeux d’nos vieux t’étais brillante Mais pour moi qu’est ce que t’étais chic Et tellement sympathique En tant qu’aîné et c’est normal Je m’amusais à te faire rire J’voulais que tu m’admires Il est à peine imaginable D’avoir un frère aussi mignon Un charmant garçon On est surpris quand on t’approche De voir à quel point tu es mûr Un puits de culture Ton imaginaire est fécond Tu débordes d’idées à la pelle Tu fais des étincelles Quand il t’arrive de voyager Au volant t’es un vrai dandy Modèle de courtoisie Refrain : Être frère et sœur Entre nous à quoi ça rime On s’chamaille autant qu’on s’estime Et c’est toujours de bon cœur Tantôt fardeau, tantôt béquille Fredonnant ce drôle d’air de famille On chemine ensemble, sœur et frère De la naissance à la poussière Encore maint'nant y a rien à faire Ta présence me plonge en enfance Joie de l’insouciance Chaque jour t’appelles sur mon portable Tu es vraiment un super frère Une pure bouffée d’air Je n’sais pas comment tu t’débrouilles Pour sans arrêt casser les codes Tu refuses les modes Tu t’es éprise de ce Bernard Sans surprise c’est un vrai copain On s’entend super bien Avec ton physique, tu fais fureur Tout droit sortie d’un film d’Audiard T’aurais pu être une star Pour composer tu t’lèves à l’aube Et t'en auras pondu des disques Tu aimes prendre des risques Même si ta jeunesse s’évapore Tu t’nourris toujours comme un… prince ? Ouais j’ai su rester mince Certaines choses jamais ne se perdent Tu cuisines toujours de la… mangue Un plaisir pour la langue Refrain Je sais qu’cette idée te rebute Mais c’est comme ça faut qu’j’te dise En toute franchise Que l’existence est bien trop brève Alors perds pas d’temps vas-y crie Ton bonheur d’être en vie

Paroles et musique : Le Traquenard Réalisé par Jean Marey Semper Merci à Marine du bateau El Alamein ! Clairette : Chant Bartholomé : Guitare et chant Elaine Beaumont : Contrebasse François Marnier : Accordéon et chœurs Benjamin Ramon : Guitare « Chef d’œuvre », le premier album du Traquenard est disponible en streaming et en téléchargement ! https://letraquenard.bandcamp.com/releases Site internet : https://www.letraquenard.org/ Facebook : https://www.facebook.com/LeTraquenardOfficieux Instagram : https://www.instagram.com/letraquenardmusique/ Paroles : Charlotte sirote une petite menthe religieusement La belle innocente initiée au plaisir mentholé du palais se lamente (allô ?) Elle ressasse sans cesse hélas elle sait c’que Johnny cache (allô !?) Il est jeune il nie, elle rit jaune : hi hi, mais c’est son Johnny (Go gros nigaud) Johnny a l’idée d’Eugénie Grandet Qui disait que son géniteur convoquait sans frotter le génie de la langue Mais Johnny ne se souvient plus bien de l’idée de génie (d’Eugénie) Car il n’a pas croisé Balzac à la fnac à la fac ni au bac (Jean Sébastien) Leurs airs s’envolent dans les faubourgs C’est la valse du calembour Ils fanfaronnent en fanfare C’est ben mieux qu’la danse des canards Et que valsent les con…naisseurs, les fervents défenseurs des beaux traits d’esprit qui ravissent le cœur Johnny nie avoir fait ami-ami avec cette fille (à Miami) (Que nenni) Avec ce mec si con, Charlotte regrette parfois son ex si cool (un mexicain) Johnny confus, déconfit, se confie « Johnny soit qui mal y pense » (de brebis) J’ veux redev’nir ton zorro, ta raison, ton frolo, ton frelon. (Bzz) Cap ou pas cap partir à Pâques à Pékin pour chiner (pas con) Craquer son slip pour des sapes en vrac, claquer du fric pour des sacs de fripes Du tac au tac Charlotte répond « dac mais à l’av’nir johnny be good Ne m’déçois plus jusqu’au décès, j’crois qu’on a fait assez d’essais, (AC/DC) Leurs airs s’envolent dans les faubourgs C’est la valse du calembour Les mots se chevauchent et galopent Ça chante, ça danse hop hop hop Et que valsent les sal…timbanques des bourgs jusqu’aux calanques si l’envie nous prend on f’ra une p’tite pétanque Pont : Voici le pont, le petit pont C’est le pompom, le pont de bois Qu’est-ce qu’elle boit la p’tite chacha Du lait d’minou contre ma toux Viens parmi nous, à la mi-août A Katmandou on s’ra quat’ en tout Ils étaient Félin pour l’autre Mais Bernard c’est terminet Ah l’batard le capitaine Corsaire Leurs airs s’envolent dans les faubourgs C’est la valse du calembour Au son des clairons et des flûtes Loin des soucis et des disputes Et que valsent les fils de chuuut Qu’importe l’anacoluthe, pour faire une bonne chanson toujours soigner sa chute (pute.)

Paroles et musique : Le Traquenard Réalisation : Jean Marey Semper Merci aux "Marcheurs de planète", 73 rue de la Roquette, Paris 11ème et à Yann dans le rôle de Bacchus. Merci aux piliers de comptoir : Agnès, Alexis, Ben et Benoit. Et enfin merci à notre papa toujours partant pour les rôles qu'on lui propose. « Chef d’œuvre », le premier album du Traquenard est disponible en streaming et en téléchargement ! https://letraquenard.bandcamp.com/releases Site internet : https://www.letraquenard.org/ Facebook : https://www.facebook.com/LeTraquenardOfficieux Instagram : https://www.instagram.com/letraquenardmusique/ Paroles Dès pochtron minet, j’me Leffe avec mon chat Le v’la qui Gnôle, ça m’saoule alors j’lui dis : « Zou Brovska » Dehors il fait frais avec le rosé du matin Aujourd’hui pas de pression j’vais m' faire couler un bon vin. Tous les jours aller pinter aux Assedic, y en a marc Faut quj’trouve du goulot goutte que goutte, mettre du beurre dans l’pinard. J’enfile un Gin, un sky et la casquette; bah, j’peux pas l’enlever. J’suis sur mon 51, l’air d’un Pouilly, trop mal saké. Mon Zinc m’appelle : "hé, j'ai un gros plan sur Monaco" C'mec c'est un muscador, il a une descente, j’aimerais pas la faire en vélo. Sur la route, j’prends l’A16 pour éviter les bouchons. Excès d’ivresse. Un Flask ! « Monsieur, veuillez siffler l’ballon ! » J’Ricard ça pourrait être kir mais finalement ça s’Passe-tout-grain Mais j’consomme 33 litres au cent, et j’suis à sec. Faut qu’j’fasse le plein! A la pompe, j’me sancerre en carburant fût d’chêne « J’ vous dois combien ? Vin ! J’paye en liquide. A la tienne ! » Refrain: Le p’tit carafon de rouge puis la galette quand t’es beurré, C’est les contes de l’apéro. Tu connais ? Le Traquenard pose son flow de verres en verres, c’est sa tournée Bacardi à dit : Levez le coude ! La belle boit en dormant et met cent ans pour émerger C’est les contes de Grimm... bergen. Tu connais ? Le Traquenard pose son flot de verres en verres, c'est sa tournée Bacardi à dit : et glou et glou ! Plus tard, j’rencontre une gueuze, blonde, mignonnette dans sa robe fleury J’lui offre un bouquet de cirrhoses, mais la fillette veut m’enbrouilly. Son mec rapplique, il est Baileys. « C’est toi qui dragues ma chopine ? » Il part au ¼ de rouge. « Lâche-moi la grappe », j’me débibine. Y’ m’dit : « T’es qui la ? » Paf ! Y’m’chope et commence à m’Cognac Et m'Get 27 mètres plus loin après une bonne paire de Qwak. « Tous les coups sont permis ? Et ben tu vas trinquer ! » Mais j’ai pas l’temps d’dire Schouf qu’le mec m’Aligoté. Ma vendange s’ra terrible, tu vas goûter aux raisins d‘ma colère! Mais trop tard l’mec est Pastis et j’en garde un goût amer Si j’recroise l’Américano, j’Brandy un coteau dans sa face ! C’est quand même pas à un vieux Pape qu’on va apprendre à faire la Grenache ! Ce mec est bordeaux-line, il a été vignoble, quel déboire ! Mais j’lui ai Chardonnay, j’m’en Balantines, j’suis une bonne Poire J’aime trop l’Moulin à vent pour finir comme Don qui-shot C’est pas mon Délirium d’entrer dans l’Guiness-bock. Refrain J’arrive au Garden, j’croise Ann et Ken. « Chinon ça va ?" "Tranquille pinard. » Ils reviennent du musée Picasso. « période Cubi, c’est de l'art ! » Question littérature, j’conseille toujours Merlot Ponty, Cépage à mon goût sont l’pilier d’toute la philosophie. « Et comment s’porte Clairette depuis son AOC ? » « Ben 8.6 de tension, Chimay thérapie forcée » Moi aussi j’suis malade, j’ai attrapé l’Rhum des foins Mais bon la j’suis sous Médoc et franch’ment, j’me mets bien. Mon médecin pour la forme m’a conseillé le Gin Tonic Moi l’sport Cointreau n’en faut, j'veux pas finir sur une Mort Subite. C’est triste mais on finira tous au fond d’un trou Normand Moi j’verse toujours une larme pendant les enterrements. Et quand ce sera mon tour, le jour d’ma mise en bière Déposeras-tu une gerbe au passage du corbière ? Dans l’Ouzo-delà, c’est sûr, Bacchus va m’inviter A boire la part des Anges comme ultime volupté. Refrain

Paroles & musique : Le Traquenard « Chef d’œuvre », le premier album du Traquenard est disponible en streaming et en téléchargement ! https://letraquenard.bandcamp.com/releases Site internet : https://www.letraquenard.org/ Facebook : https://www.facebook.com/LeTraquenardOfficieux Instagram : https://www.instagram.com/letraquenardmusique/ Paroles : La vie c’est comme les oeufs parfois c’est dur, Comme une correspondance, on veut pas la rater. Il faut accepter l’échec, sauf si y a pas d’signature, Le succès est aussi grisant qu’un crayon à papier. La vie c’est comme les bébés, parfois c’est moche, Mais comme un tableau sur un mur, on s’accroche. Les regrets dans le rétro, les rêves dans le viseur, L’espoir aime s’inviter en douce comme un cambrioleur. A l’heure de rendre l’âme, d’embrasser l’infini, En silence ou dans un cri perçant comme un tapis, On prétend que nos vies défilent alors sous nos yeux, Faisons que ce dernier instant ne soit pas ennuyeux. Buvons, chantons, rions, Aimons tant que nous le pouvons. Vie, c’est un joli mot, Il est un peu trop court Et l’on s’en va bientôt. La vie c’est comme un petit déj, parfois pas d’bol, Comme avec les 7 nains, c’est pas toujours joyeux. Si l’amour peut rendre aveugle comme un tir de flashball, Il est aussi impitoyable qu’une cuite au mousseux. La vie c’est comme les cheveux, parfois c’est trop court, Comme un vélo, on peut crever à tout moment. Partir les pieds devant, un jour sans retour, Parfois le temps file aussi vite qu’une paire de collants. A l’heure de rendre l’âme, d’embrasser l’infini, En silence ou dans un cri perçant comme un tapis, On prétend que nos vies défilent alors sous nos yeux, Faisons que ce dernier instant ne soit pas ennuyeux. Buvons, chantons, rions, Aimons tant que nous le pouvons. Vie, c’est un joli mot, Il est un peu trop court Et l’on s’en va bientôt. Vie, c’est un joli mot, Il est un peu trop court Et je m'en vais bientôt.

Paroles et musique : Le Traquenard Arrangements : Benjamin Ramon Réalisé par Jean Marey Semper « Chef d’œuvre », le premier album du Traquenard est disponible en streaming et en téléchargement ! https://letraquenard.bandcamp.com/releases Site internet : https://www.letraquenard.org/ Facebook : https://www.facebook.com/LeTraquenardOfficieux Instagram : https://www.instagram.com/letraquenardmusique/ Clouer le bec du dindon de la farce et attrape-moi si tu peux. Jette un pavé dans la marre, casse trois pattes à un canard, ça t’en bouche un coin coin à qui mieux mieux. Pan pan cul cul la praline, tu frises le ridicule ne tue pas folle la guêpe. Comme des larrons en foire, tous les 36 du mois, c’est la cohue-bohu à la bonne franquette. A la vie comme à la selle, Tu prends les vessies pour des lanternes. Résultat des courses : Ça va faire du bruit dans Landerneau. Sans foi ni loi, sans tambour ni trompette, de derrière les fagots, Du bruit à tire larigot. Tirer le diable par la queue leu leu c’est bonnet blanc et blanc bonnet due forme. C’est r ‘parti comme en 40, j’m’en moque comme de l’an 40, chauffe Marcel en voiture Simone (et Garfunkel). Passer l’éponge et r’mettre le couvert, remuer sa bite et son couteau dans la plaie. Con comme un balai dans son camp les poules auront des dents contre toi, contre kem’s. Avoir du foin dans ses bottes sans détour, C’est pas tombé dans la poche d’un sourd. Résultat des courses : Ça va faire du bruit dans Landerneau. Sans foi ni loi, sans tambour ni trompette, de derrière les fagots, Du bruit à tire larigot. Minute papillon ! Tu t’en moque comme de colin-tampon, tu te tailles la part du lion et noies le poisson, ça sent l’coup de Trafalgar. Rond comme un ballon, tu pisses dans un violon, tu files un mauvais coton, rev’nons à nos moutons, t’es sur le fil du rasoir. Gros sur la patate, je pète un câble, j’en ai ma claque, j’prends mes clics et mes clacs du tac au tac, l’affaire est dans le sac. Mon p’tit doigt me dit c’est partit mon kiki, un peu mon n’veu tu l’as dit bouffi, j’vais remettre les points sur les i, faut pas pousser mémé dans les orties. Ça va faire du bruit dans Landerneau. Sans foi ni loi, sans tambour ni trompette, de derrière les fagots, Du bruit à tire larigot. Ca va faire du bruit dans Landerneau. Grosso modo comme une lettre à la poste comme un poisson dans l’eau. Du bruit ! Tambour battant avec perte et fracas, en deux coups d’cuillères à pot. Du bruit ! Clopin clopan, comme on dit dans l’jargon, avec trois francs six sous. Du bruit ! Bon an mal an par-dessus le marché envers et contre tout Du bruit ! Droit dans ses bottes de France et de Navar, par acquis de conscience. Du bruit ! Par tête de pipe autant que faire se peut en deux temps trois mouvements. Du bruit ! Ni fait ni à faire pas très catholique mystère et boule de gomme...